Moment de complicité, enfin ... | Praline (+ LB 1 couple)

C'est bien ma belle.

Lui dit-il en la caressant doucement sur l'encolure. Positionné correctement, il pressa les flancs de la jument afin de la mettre au pas, rêne mi longues. Piste à ma droite, le couple évoluait, pour le moment, sans conflits …

Cela faisait quelques semaine que Praline était arrivée, et elle n'avait jamais été montée, juste travaillée de temps à autre. Elle n'avait jamais vu le nez de son cavalier, mais cela ne lui déplaisait pas non plus ! Seulement aujourd'hui était un jour différent. Des pas se firent entendre dans l'allée des écuries, et un homme entra dans le box de la noiraude. Elle se laissa panser sans rechigner, mais au moment des caresses, elle resta sur ses gardes. A chaque fois qu'on la caressait avant, s'était pour gagner sa confiance et ensuite pouvoir en tirer quelques chose, sans jamais la récompenser, et désormais, elle en avait marre, elle n'acceptait plus les caresses.

Elle suivit docilement son cavalier jusqu'à la carrière, regardant à droite à gauche, et hennissant de temps à autres pour appeler ses camarades, sans réponses. Ensuite, elle entra dans la "boîte", toute molle, et laissa Maxxie vérifier son sanglage, en essayant de le mordre. Quand il monta, elle tourna en rond, et une fois assis sur son dos, elle ne bougea plus, la tête haute, les oreilles bien droites, appelant un fois de plus ses congénères. Elle eut une réponse, d'un poulain surement, et elle tapa le sol de son antérieur droit. Maxxie fit une légère pression sur ses flancs pour la mettre au pas à main droite. Elle suivit la piste, regardant la carrière avec curiosité, ne s'intéressant pas du tout aux indications que pouvait lui donner Maxxie. Pour signifier d'ailleurs son ennuie total, elle bailla. Praline est une jument qui a un bon fond, mais qui en fait plus confiance et qui teste beaucoup. Il lui faut un cavalier autoritaire, un homme de préférence, car avec une femme, elle pourrait faire ce qu'elle veut ô oui !

Elle décida elle même que le pas devait être finit, alors elle s'arrêta et souffla, son museau touchant le sable, puis elle se gratta le chanfrein. Elle espérait vraiment que la personne présente sur son dos n'était pas une de celle qui ne travaille qu'au plat sur des exercices bidons de base et ennuyant, qui ne servait en rien à l'OI, puisqu'elle connaissait déjà tout.

Gentille ? Maxxie allait avoir de belles surprises, si se n'était pas aujourd'hui, se serait le jour d'après et si se n'était pas le jour d'après, se serait l'autre encore. Praline repassa au pas , et fit correctement l'allongement dans la diagonale demandée par son cavalier. Elle fut bien contente quand il lui demanda de passer au trot. Pendant quelques secondes, elle eut un trot plutôt ... lourd. En effet, ces pattes soulevaient lourdement le sable en venant se poser. Quand Maxxie lui demanda d'accélérer, ou plutôt d'allonger le trot, elle le fit, en secouant sa tête de droite à gauche. Elle reprit le petit trot demandé, secouant toujours sa tête, et ronflant de temps à autres des naseaux. Lors de la volte elle ne s'incurva pas vraiment, elle pointa seulement le bout du nez, mais elle fut féliciter, se qui l'encouragea pour la suite. Mais, Maxxie décidé de la mettre sur un cercle, pour qu'elle s'incurve complètement. Elle ne l'accepta pas, et fit donc son cercle normalement, ignorant la demande. Mais son cavalier lui non plus n'accepta pas [ désolé anticipation ] et insista. Elle finit par s'incurver, et s'arrêta. Elle fut une fois de plus féliciter, avant qu'elle ne ressente l'ordre de passer au galop. Elle ne se fit pas prier. Cela faisait longtemps qu'elle n'était pas sortie !! Elle partit donc d'un bond , et étendit son encolure les oreilles couchées contre la nuque, soulevant haut ses antérieurs. Elle pouvait continuer des heures, mais s'était dangereux, pour le cheval, et le cavalier ...

Praline dut se résigner à galoper comme elle l'entendait. Mais n'étant pas une jument très méchante, elle reprit un galop normal. Elle fit son cercle en s'incurvant plus où moins correctement, et repassa facilement au trot, balançant toujours sa tête de gauche à droite, pendant les tours demandés.Elle repassa au pas, mais elle se raidit en sentant les caresses de son cavalier, et ses félicitations. Elle reprit le pas, ne transpirant pas d'un poil, puis le trot à la demande de Maxxie. Quand il lui redemanda le galop, elle coucha ses oreilles, et s'élança dans un galop qu'elle régla rapidement suite au sollicitations de son excellent cavalier. Contente de reprendre le pas, Praline regarda le palefrenier entrer dans la carrière, non sans faire des grimaces d'ennui que la noire remarqua. Quand il passa non loin d'elle, elle coucha ses oreilles, et ronfla des naseaux, lui signifiant ainsi qu'il avait intérêt de bien faire son travail, car elle avait bien compris qu'elle allait sauter !! Ha le saut et elle, une grande histoire ! Et si Maxxie réussissait à gagner la confiance de l'OI, il pourrait aller loin avec elle, très loin ... Cette-fois, elle prit le trot, concentrée et heureuse. Elle ne balançait plus sa tête, et se dirigea vers le minuscule croisillon avec envie. Elle voulait montrer à son cavalier qu'elle avait des capacités, mais que personne ne les avait jamais exploités. Alors, deux bonnes foulées avant l'obstacle, Praline prit son impulsion, et engagea ses antérieurs vers l'avant. Avec ses postérieurs, elle poussa, et elle s'éleva bien au dessus des barres formant un X. Elle se réceptionna rapidement, et prit le galop, pensant qu'il y avait d'autres obstacles derrière ..

Et toi, pourrais-tu, s'il te plaît, augmenter le croisillon à quarante-cinq centimètres et en mettre un autre vertical à cinquante centimètres derrière ? Merci.

Praline continua de galoper, puis en sentant une pression dans sa bouche, elle repassa au trot. Même si se n'était que la première fois qu'elle le voyait, la noiraude aimait bien Maxxie, sa façon de gérer les choses, sa manière de monter .. Il ne lui tirait pas sur la bouche comme un imbécile pendant son saut, et ne lui donnait pas de coup de cravache quand il faisait la conne. Non mais c'est vrai !! Sa fait plaisir d'avoir un cavalier qui respecte, pour une fois !!
Elle repassa au pas à la demande, fouettant l'air de sa queue noire et touffue. Elle tourna sa tête afin de pouvoir le regarder, puis elle regarda le palefrenier, à qui elle tenta de piquer la carotte planquée dans la poche arrière. Elle réussit à l'avoir, puis elle reprit le trot, en mâchant avec plaisir sa moitié de carotte, en bavant. Elle fit correctement le doublé, puis se dirigea vers la première barre, le même croisillon. Elle ne prit pas une grosse longue, mais s'éleva tout de même au dessus de l'obstacle, puis passa au galop. Cette fois, elle avait pris la bonne allure, puisque Maxxie la dirigea vers un vertical de cinquante centimètre. Elle n'avait pas envie de faire d'effort, puisque l'obstacle était petit, et elle en avait marre des petites hauteur. Elle voulait monter. Oui monter plus haut, et prouver qu'elle était forte, elle aussi. Elle sauta sans toucher, puis reprit le trot à la réception, anticipant la demande de son cavalier.

Elle s'envola au dessus de l'obstacle, le second, mais on sentait qu'elle en avait marre des petits hauteurs. Surtout qu'après la réception elle repassa directement au trot. Maxxie l'encouragea de la voix après lui avoir légèrement tapoté l'encolure. Après avoir fait ceci, il demanda au palefrenier de mettre le croisillon à soixante-dix centimètres et le verticale à quatre-vingt cinq centimètres. Il ne voulait pas tout de suite passer le cap des un mètre alors, il y allait progressivement. Ensuite, il décida de passer un moment au pas. Car cela faisait un moment qu'elle n'avait pas travaillé alors il ne voulait pas trop la brusquer. Il la laissa marcher rênes longues tout en la dirigeant quand même afin qu'elle ne le promène pas dans la piste ce qui est une marque d'irrespect profond. La palefrenier ne se bougeait pas très vite les fesses alors il haussa la voix et lui gueula dessus ! Là, il se dépêcha vraiment et positionna les barres à la bonne hauteur. Ensuite, il exerça une pression sur les flancs de la belle jument et repassa donc au trot. Il effectua un changement de main pour éviter de ne faire toujours que dans le même sens . Ensuite, ils effectuèrent un doublé dans la longueur et il dirigea sa jument vers croisillon. Il l'aimait déjà beaucoup alors qu'il la connaissait à peine ! Mais bref, pas le temps pour la parlotte. Il demanda à Praline d'allonger le trot avant de se diriger sur l'obstacle. Elle semblait contente … Les barres étaient plus hautes. Il l'encadra correctement et la poussa avant qu'elle ne saute les obstacle …

Praline fut contente de marcher un peu. Elle s'arrêta même, et se gratta le chanfrein, avant de se remettre en marche et de suivre la direction que lui demandait son cavalier. Elle l'entendit crier sur le palefrenier, et elle fut contente. Si elle avait pu, elle lui aurait tirer la langue et se serait foutu de sa tête. Mais elle ne le pouvait pas, et se contenta de marcher, tête basse, détendant un peu son encolure. Puis, en sentant une pression sur ses flancs, elle releva la tête, et prit le trot. Les barres avaient été montées,mais se n'était pas non plus la peine de faire un gros effort. Praline fut soulagée quand Maxxie la changea de main, non pas qu'elle s'ennuyait à l'autre main, mais c'est comme sa, et pas autrement.
Elle effectua le doublé, puis allongea son trot à la demande de son cavalier. Mais, Praline fut surprise que Maxxie la pousse devant le premier obstacle, elle n'en avait pas besoin. Elle sauta donc quatre-vingt dix centimètres, au lieu de soixante-dix, et ce réceptionna assez mal. Seulement, la noiraude, c'est une jument avec un coeur d'ange, qui rattrape toutes, du moins presque, les fautes de son cavaliers, ou qui vous sauves la mise dans les concours. Malgré sa mauvaise réception, la jument reprit de la vitesse, et avec une bonne impulsion, elle sauta le deuxième obstacle, un peu trop près, sans faire tomber la barre, par chance. Sa foulées avait été mauvaise, elle le savait, et habitués à se qu'on la tape, elle coucha les oreilles, et trotta queue basse après le deuxième obstacle, trainant un peu les postérieurs. Maxxie allait t'elle la taper ?

A cause de Maxxie, qui était conscient de son erreur, la jument se réceptionna mal mais rattrapa le coup. Et à cause de ça, elle effectua un deuxième mauvais saut. Il s'en voulait car il savait très bien que c'était sa faute. Ensuite, la jument plaque les oreilles et trotta la queue rentrée, tête basse en traînant les postérieurs. Qu'avait-elle ? Ensuite, il se rappela de son mauvais traitement d'autrefois. Mais lui n'était pas du genre à taper les chevaux, au contraire. Alors, il chuchota du n'importe quoi à l'oreille de la jument tout en la caressant légèrement. Il savait très bien que c'était de sa faute. Alors, il repassa la jument au pas en redressant son buste et la laissa marcher rênes longues et s'arrêter si elle le voulait pour une bonne raison. Ensuite, il ordonna au palefrenier de mettre le croisillon à un mètre et de mettre le verticale à un mètre dix. Il savait bien que la OI voulait sauter de plus en plus haut mais il ne voulait pas la blesser non plus alors, il prit soin de la laisser marcher quelques temps sans non plus la refroidir de trop. Ensuite, il reprit un peu les rênes et la fit repartir au trot. Il lui demanda une volte en l'incurvant puis, reprit la piste calmement. Le palefrenier regardait le couple évoluer de plus en plus fasciné par ceux-ci. Ensuite, notre beau jeune homme fit doubler sa monture dans la longueur afin de l'amener sur les deux obstacles qui faisait maintenant un mètre ou plus. Il poussa légèrement la jument afin qu'elle puisse prendre son appel à sa guise. Et il se laissa emporter, cheveux au vent, sur sa jument, qu'il appréciait déjà énormément ! …

Praline fut surprise, Maxxie ne la tapa pas ... Elle se détendit un peu en sentant ses caresses, et se remit à marcher, observant le palefrenier qui était vraiment très fasciné. La noire transpirait un peu, plus dût à la peur qu'à la fatigue. Dès qu'elle sentit les rênes se raccourcir et la pression sur ses flancs, elle tourna la tête vers les obstacles qui avaient été montés. Ensuite, elle partit au trot, assez énergique, à la limite du galop. Elle avait envie de galoper, de sauter, de manger, de tout !! Oui, notre belle OI ne pensait qu'à sa, manger, sauter et galoper. Elle fit la volte, en s'incurvant tel un cheval de dressage n'ayant subit aucun mauvais traitement. Oui vraiment, Praline appréciait la délicatesse dans les mains de Maxxie, ses jambes qui ne lui tapaient pas dans le ventre comme les débutants faisaient. Bref, elle fit le doublé, et se rapprocha de plus en plus du croisillon monté à 1m et des petites poussières. Quatre foulées avant, elle prit le galop, en se réglant directement d'elle même. Elle chargeait un peu l'obstacle, s'était un jeu pour elle. Praline prit son appel ni trop près, ni trop loin, à la bonne longueur quoi. l'OI poussa sur ses postérieurs afin de balancer ses antérieurs vers l'avant. Elle étendit l'encolure, les oreilles vers l'avant, et passa l'obstacle sans difficultés. La réception fut bonne, peut-être un peu maladroite, s'était un point à travailler avec elle. Mais le plus dur restait à venir. Le vertical lui ne l'élevait pas à un mètre, mais à un mètre dix passés. Après la réception du premier obstacle, elle releva la tête, et fit le travail pour deux. Elle re-régla sa foulées, et accéléra juste un peu devant le vertical. Là, elle reprit son impulsion et s'éleva bien au dessus du vertical. Se n'était pas très haut, mais elle n'avait pas l'habitude de sauter haut en enchainant même deux obstacles, bien qu'elle aime sauter. Sa réception fut bien plus à l'aise que la première, on aurait dit un pur-sang qui était d'une lignée de champion, alors que non, elle n'était seulement que la fille d'une jument banale, et d'un étalon de saut, rien de très extraordinaire. Mais elle avait un talent caché, que personne n'avait jamais exploité. Maxxie peut-être ?

Incroyable ! Elle réglait son galop toute seule et faisait quasiment le travail toute seule. Une incroyable jument ! Là, il savait qu'il allait bien s'entendre avec elle. Car lui était passionné de CSO et elle était très douée ! Ils allaient surement s'entendre à merveille ces deux là ! Après les deux obstacles qu'elle avait sauté excellemment bien, il la fit repasser au pas. Il s'approcha du palefrenier et lui tendit un morceau de papier. C'étaient les obstacles qu'il devait installer. Il y avait un obstacle A, un oxer d'un mètre, puis un obstacle B, un croisillon de quatre-vingt dix centimètres et enfin, un obstacle C, un vertical d'un mètre dix. Il laissa la jument étendre son encolure si l'envie lui en prenait, en lâchant quasiment totalement les rênes. Comme ça, elle avait le temps de souffler un peu pendant que le palefrenier installait le petit « parcours ». Il caressa la jument et remarqua qu'elle était légèrement mouillée. Pourtant elle n'avait pas l'air d'être si essoufflée que ça. Alors il opta pour la solution suivante : elle avait eu peur et donc elle avait transpiré. Il caressa sa jument et la laissa marcher encore un peu. Une fois les obstacle installé, il mis sa jument au trot mais en piste intérieure cette fois car deux des trois obstacles se trouvaient sur la piste. Ensuite, il reprit celle-ci et la dirigea vers le premier obstacle, l'oxer d'un mètre. Il l'encadra correctement et donna l'impulsion nécessaire à la jument. Il fit en sorte qu'elle prenne son impulsion au bonne endroit et accompagna le saut en avança ses mains sur l'encolure et en se mettant en suspension, se faisant le plus léger possible. La réception fut bonne et il l'encouragea de la voix et en la caressa. Il la plaça dans un petit galop cadencé avant de se diriger sur le croisillon de quatre-vingt dix centimètres, ce qui, logiquement, serait facile pour Praline et son cavalier. Il donna moins d'impulsion que pour l'oxer car l'obstacle B qui arrivait était moins haut. Et il accompagna de nouveau correctement le saut pour donner plus de facilité à sa monture de sauter. Ensuite, il l'encouragea de nouveau à la réception. Pour aller sur le dernier obstacle – un vertical d'un mètre dix – C, il fallait doublé dans la longueur. Ce qu'il fit après avoir reprit ses rênes d'une longueur correctes. Après avoir fait le doublé, il attendit d'être à une longueur convenable avant de donner l'impulsion. Cela faisait un moment qu'il n'avait pas prit autant de plaisir à monter à cheval ! Rare sont les chevaux qui arrivent à lui faire cet effet là. Alors, c'est que Praline est exceptionnelle ! Il l'encadra correctement pour éviter qu'elle ne se dérobe ou qu'elle ne fasse un écart. Il ne fallait pas qu'elle refuse le dernier obstacle quand même ! Il donna ensuite plus d'impulsion que sur le premier et le deuxième mais lui laissa tout de même la possibilité de gérer son allure mais il pensait qu'il l'avait fait correctement. Mais vaut mieux ne pas brusquer les chevaux ! Ensuite, il accompagna de nouveau le saut, s'envolant encore une fois avec sa jument …

Le Parcours :

Spoiler:

Praline repassa au pas quand son cavalier le lui demanda. Elle baissa sa tête afin de se gratter, puis observa elle aussi le palefrenier monter le petit parcours de trois obstacles. Ensuite, le noiraude marcha dans la carrière, et partit au trot à la demande de Maxxie. Elle n'était pas du tout en place, et Maxxie ne sembla pas le remarquer, puisqu'il la dirigea vers le premier obstacle, un oxer d'un mètre, rien de très imposant pour Praline. Elle s'engagea donc devant et secoua la tête quand son cavalier lui donna de l'impulsion, elle n'en avait pas besoin ; pas sur des petits obstacles, mais en toute bonne jument, elle sauta bien au dessus de l'obstacle.
Ensuite, Praline se dirigea vers le croisillon plus petit que l'oxer d'avant. Elle ne compris pas vraiment pourquoi Maxxie la faisait sauter cela, et ne fit pas l'effort de sauter correctement. Elle laissa donc trainer ses postérieurs, qui firent tomber les deux barres. A la réception, elle reprit de la vitesse, et doubla à la demande de son cavalier, pour aller sur le vertical d'un mètre dix. Trois foulées avant, elle accéléra, chargeant un peu, mais sauta correctement l'obstacle. En effet, elle éleva ses antérieurs bien au dessus de l'obstacle, dix bon centimètres pour être précises. Son cavalier devait avoir l'impression de voler, tellement elle était puissante dans ses sauts. Sa réception fut légère et bonne, puis elle reprit encore plus de vitesse, baissant les oreilles. Elle était heureuse, ils commençaient à s'entendre plutôt bien elle et son cavalier, puisqu'il comprenait qu'elle aimait sauter ...

Allez ma belle, montre lui ce que tu sais faire …

Le Parcours :

Spoiler:

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